Tour d’horizon des tendances en matière de pratiques sexuelles, suite à la sortie de l’atlas Le sexe dans tous les États
BRUXELLES Mais s’il est un pays où le sexe trouve ses plus belles lettres de noblesse, c’est en Grèce. En effet, sachez que les Grecs sont les dieux du sexe en Europe avec une moyenne de 11,5 relations sexuelles par mois, alors que la moyenne générale est de 8,7 rapports mensuels.
Sur une année, les Grecs trônent toujours en tête, avec 164 relations sexuelles annuelles.
En revanche, les Japonais sont les plus frileux, avec seulement 48 rapports sexuels avoués par an.
Si le nombre de partenaires différents au cours d’une vie est à prendre en compte, les Allemands sont les plus coquins avec 13 partenaires différents, devant les Américains (12,5), ex aequo avec les (surprenants) British.
Au niveau de la satisfaction sexuelle et de la satisfaction relationnelle, on note une corrélation entre la satisfaction sexuelle qui est d’autant plus forte si l’égalité des sexes est respectée dans un pays.
Les Autrichiens sont les plus épanouis, tout autant en harmonie au niveau de leur couple que de leurs relations sexuelles. Les Belges sont globalement satisfaits, pour 80 % de satisfaction sexuelle, corrélée à 65 % de satisfaction relationnelle.
En revanche, les Japonais sont les moins satisfaits de leur partenaire, sans doute assimilé à une contre-performance sexuelle.
Par ailleurs, tous les dieux du stade qui se targuent d’être de véritables bêtes de sexe, surpassant les exploits de Rocco Siffredi, peuvent rentrer au vestiaire.
En effet, la durée moyenne d’un rapport sexuel, hors préliminaires, est estimée à 15 minutes, de quoi casser certains mythes.
Mesdames, si votre homme se targue d’avoir un puissant braquemard surdimensionné, n’hésitez pas à lui rabaisser sa vanité car la taille moyenne d’un phallus en érection se situe entre 12,5 et 17,5 cm pour une circonférence de 10 à 15 cm.
D’après un sondage Harris/Durex, du côté de l’importance accordée à la sexualité, les Grecs trônent toujours en tête : 80 % d’entre eux estiment le sexe comme étant une activité très importante et aiment en parler sans aucun complexe.
Juste derrière eux , se classent à égalité les Polonais et les latin lovers brésiliens, qui sont 79 % à percevoir l’acte sexuel comme primordial.
Encore lanterne rouge, les Japonais sont les plus coincés, où seulement 38 % d’entre eux avouent accorder une certaine importance au sexe, sujet plutôt tabou au pays du Soleil-Levant.